Oserais-je dire que le blanc est, en typographie, plus important que le noir ? On dit que chaque encre ne couvre qu’environ cinq pour cent de la page imprimée ? Quoi qu’il en soit, les typos usent de mille et un mots pour nommer les blancs, que ce soit au niveau de la page (chacune des marges porte un nom), du texte (renfoncement d’alinéa, interligne, lézarde...), et même dans le dessin des caractères (talus, approche, contre-poinçon...). Et c’est la saine gestion de ces blancs qui assurera l’équilibre du « gris typographique », auquel auront donc étroitement collaboré le fondeur de caractères, le maquettiste et, finalement, le typographe.
Abréviations employées.—
T : composition manuelle (casse, Ludlow, Nebitype...). —
M : composition mécanique (Linotype, Intertype,
Monotype...). — F : photocompo. — µ :
micro-édition. — ts : tous systèmes de
composition.
Approche, n.f. — (ts)
Voir schéma.
Blanc, n.m. — (ts)
Synonyme d’espace ou d’interligne. « Jeter du
blanc » : mettre ou ajouter une interligne ou des
espaces.
Blanc de couture, de grand fond, de
petit fond, de pied, de tête, n.m. — (ts) Voir
empagement.
Blanc tournant, n.m. —
(ts) Blanc (de valeur identique sur les quatre côtés,
comme son nom pourrait l’indiquer) situé entre le texte
et les filets qui l’encadrent (aussi bien pour les
encadrés que certains tableaux). Au plomb, il s’agissait
soit de « coucher » une interligne de 3 ou 6
points (ou 2 interlignes de 2 pts) entre le texte et les filets, soit
d’utiliser des filets « œil de
côté ». En micro-édition, il s’agit
de la valeur de retrait des blocs.
Cadrat, n.m. — (T) Bloc de
plomb d’une chasse de plusieurs cadratins, utilisé pour
remplir les lignes creuses. (µ) Synonyme de cadratin.
Cadratin, n.m. — (T, M, F)
Espace « quarrée », dont la chasse est
égale à la force du corps (exception faite des polices
condensées) et donc proportionnelle à celui-ci :
« Le cadratin d’une casse de 14 Bodoni chasse de
14 points. » En anglais,
em. — (µ) À ce
jour, en micro-édition, la définition et la chasse du
cadratin, variables selon les logiciels utilisés, font encore
l’objet de débats passionnants. Le
« Robert » [1] parle même de
« grossièreté » :
« La PAO est moins riche en sortes d’espaces ;
et surtout les dénominations n’y sont pas les
mêmes qu’en typographie traditionnelle : (...) le
demi-cadratin et le cadratin sont des espaces fixes qui
obéissent grossièrement aux définitions
de la typographie traditionnelle. »
Cadratiné, adj. —
(T, M) Ayant la chasse d’un cadratin (« un moins
cadratiné »).
Casse typo. —
(T) « Les espaces (...) sont au nombre de six : — l’espace
fine qui vaut 1 point ; elle sert d’appoint dans la
justification ; — l’espace moyenne qui vaut
1,5 point ou 2 points ; c’est elle qui sert pour
décoller les signes de ponctuation de la lettre qui
précède ou qui suit ; — l’espace
forte qui vaut 1/4 ou 1/3 du corps du caractère ; c’est
elle qui sert de blanc de base entre les mots ; — le
demi-cadratin et le cadratin (...) ; — les cadrats
(...) » [1].
Chasse, n.f. — (ts)
Largeur d’un caractère (y compris des espaces),
approches incluses.
Chanson. — (T, M,
F) Le À la doit s’entonner avec du blanc à
la main. Ou du rouge.
Cicéro, n.m. —
(T, M) Unité de mesure typographique traditionnelle (vaut en
France 12 points Didot soit 4,51 mm ; le cicéro
belge, multiple du point Fournier, est plus petit).
Contrepoinçon, n.m. —
(ts) Voir schéma.
Creuse (ligne
—). — (ts) Ligne de texte ne remplissant pas toute la
justification, le cas typique étant la dernière ligne d’un
paragraphe (antonyme : ligne pleine). Les lignes creuses
engendrent une impression de vide, de faux blanc, qui nuit au
« gris » de la page. Dans certains cas, cela peut
aussi perturber la lecture : on ne laissera pas la
première ligne d’un paragraphe en pied de colonne ou de
page, ni la dernière ligne d’un paragraphe en tête
de colonne ou de page (voir aussi veuve). On
veillera aussi à ce que la dernière ligne d’un
paragraphe ne soit pas trop courte (un seul mot court ou, pire, un
petit bout de mot coupé) :
« Lignes à voleur, s. f.
pl. — Lignes composées d’une syllabe ou d’un
mot de trois ou quatre lettres qu’il était possible de
faire entrer dans la ligne précédente en
espaçant moins large. Les lignes à voleurs, sont
faciles à reconnaître, et elles n’échappent
guère à l’œil d’un correcteur
exercé, qui les casse d’ordinaire impitoyablement. Les
lignes étant comptées pleines, on conçoit l’intérêt
du compositeur à n’avoir qu’un mot à mettre
dans une ligne. Toutefois c’est le fait d’ouvriers peu
soigneux » (BOUTMY, l’Argot
des typographes).
Demi-cadratin, n.m. — (ts)
Espace ayant une chasse égale à la moitié d’un
cadratin.
Demi-cadratiné, adj. —
(ts) Ayant la chasse d’un demi-cadratin (« les
chiffres sont généralement
demi-cadratinés »). En anglais, en.
Douze, n.m. — (T, M)
Synonyme, en France, de cicéro (douze points Didot).
em (ou) M-space. —
(T, M, F) Mot anglais pour cadratin ; subdivisions :
3-to-em (thick space, tiers de cadratin), 4-to-em (middle
space), 5-to-em (thin space), 6-to-em, etc. La plus fine
espace est l’hair space, d’un point ou moins. Le
demi-cadratin s’appelle n-space ou en. Brillant,
Pearl, Nonpareil : noms donnés anciennement à
des espaces, de valeur fixe, de 4, 5 et 6 pts. — (µ)
Voir Unicode.
Empagement,
n.m . — (ts) Toute mise en page suppose le choix de quatre
valeurs de marge définissant l’empagement. C’est
le blanc de tête, ou marge supérieure, qui
comprend la distance entre le bord du papier et le haut du texte (y
compris le folio et le titre courant) ; le blanc de pied,
ou marge inférieure ; le blanc de grand fond, ou
marge extérieure (à droite d’un recto, impair,
à gauche d’un verso, pair) ; le blanc de petit
fond, ou blanc de couture, ou marge intérieure
(à gauche d’un recto, à droite d’un
verso).
Encyclopédie
(1751-1772) . — Extrait congru :
« Planche comprenant sept objets. a quadratin servant à remplir le blanc des lignes vu du côté du cran, que l’on tourne en-dessous, de même qu’à toutes les autres pièces, en le plaçant dans le composteur ; sa longueur dans le sens du cran est égale à l’épaisseur, ensorte que la base est un quarré parfait. b (...) la lettre qui a dix lignes & demie de hauteur, est plus élevée que toutes les autres pieces d’environ deux lignes & demie : les quadrats, quadratins & espaces n’ayant qu’environ 8 lignes de hauteur ; le cran qui est près le pié de la lettre se place en-dessous dans le composteur. c quadrat servant aussi à remplir le blanc des lignes ; sa longueur dans le sens du cran est le double de celle du quadratin, ou double de son épaisseur, le cran n’occupe que la moitié de la longueur de cette piece. Il y a des quadrats dont la longueur porte 3, 4, 5, & 6 fois l’épaisseur du corps. d demi-quadratin dont la longueur dans le sens du cran est la moitié de celle du quadratin a, c’est-à-dire, égale à la moitié de l’épaisseur du caractère. e espace dont l’épaisseur n’est que la moitié de celle du demi-quadratin. f espace moyenne. g espace fine, servant les unes & les autres à séparer les mots & à justifier les lignes ; pour la facilité de la justification, on a encore des espaces moyennes entre celles représentées dans la figure, & de plus minces, que celle représentée par la lettre g, ensorte que chaque corps a cinq ou six sortes d’espaces. »
Espace,
n.f. ou n.m. — (ts) Ce mot
désigne le blanc qui est mis entre les mots et quelquefois
entre les caractères d’un texte. On peut remarquer, dans
la conversation des typographes, un distinguo subtil (d’aucuns
disent même « pédant » !)
concernant le sexe de l’espace :
« une » espace serait plutôt un objet,
matériel (en bois, en plomb, en papier ; aujourd’hui
un code informatique), dont la présence engendre
« un » espace, notion abstraite
géométrique. Exemple
(capillitracté !) : « Cet espace est trop
grand car le claviste a saisi deux espaces consécutives ;
enlevons-en une. » Cette distinction de genre vaut aussi
pour l’interligne.
Espace-bande, n.f. — (M)
Lame d’acier de largeur variable qui sert d’espace
justifiante sur une Linotype ; chasse minimale 2,5 points,
maximale 8,5 points.
Espace-chiffre, n.f. —
(µ) Espace ayant la même chasse que
le chiffre zéro.
Espace fine, n.f. — (T)
Une des espaces de la casse typo, de
chasse 1 point. Les typos peuvent tailler dans des morceaux de
papier des espaces encore plus ténues. — (M) Espace dont
la chasse est égale à un quart de cadratin. En
Linotype, la fine figure sur la même matrice que le e
supérieur, et l’on doit la retourner à la main
dans le composteur (ou la mettre en ital), selon qu’on
désire un blanc ou un e sup. En cas d’oubli, un e sup
apparaît, que le « corrigeur » (ou le
« fonctionnaire ») fait sauter au canif. —
(F, µ) Espace dont la chasse est généralement
égale à un quart de cadratin.
Espace forte, — moyenne,
n.f. — (T) Espaces de la casse
typo.
Espace insécable, n.f. —
(F, µ) Espace interdisant au programme de composition le retour
à la ligne lors de la justification (ex. : 12/janvier,
Louis/XIV, Mgr/Dupanloup, mot/;).
Espace interlettre, n.f. —
(T, M) Espace de faible chasse ajoutée entre les lettres d’un
mot pour aider à la justification, ou pour aérer
(p. ex. un titre). (µ) Pour répondre aux mêmes
besoins, on peut maintenant aussi réduire cette espace (ce qui
jadis eût nécessité d’employer la
« servante », sorte de petit étau qui
servait à serrer une lettre pendant qu’on en rectifiait
l’approche à la lime).
Espace justifiante, n.f. —
(ts) Espace inter-mots dont la chasse varie pour permettre la
justification (alignement à droite et à gauche) des
lignes.
Espace-mot, espace intermot,
n.f. ou n.m. — (µ) Espace
jetée entre les mots d’un texte, variable dans le cas d’un
texte justifié, fixe pour les textes au fer ou centrés.
Les valeurs minimale et maximale de cette espace font l’objet
de débats entre écoles.
Espace ponctuation, n.f. —
(µ) Espace ayant la même chasse qu’une
virgule.
Espace sécable,
n.f. — (F, µ) Espace autorisant le programme de
composition à retourner à la ligne lors de la
justification.
Espace variable, n.f. —
(µ) Mot nouveau, concept encore flou.
Aidez-moi si vous en savez plus !
Faux blanc, n.m. — (ts)
Disposition de lignes qui donne l’impression d’un blanc
excédentaire. Par ex. un titre centré, très
court, sous une ligne très creuse de fin de paragraphe.
Fine, n.f. — (ts)
Abréviation de « espace fine ».
Fines acier, n.f. — (M)
Espaces d’un demi-point et un point, insérées
à la main dans le composteur de la Linotype, pour des
interlettrages soignés. L’usage de ces espaces,
ralentissant monstrueusement la production de l’opérateur,
est rarissime et on voit très souvent (en presse ou sur
petites justifs) des interlettrages faits avec la fine du clavier, d’un
quart de cadratin !
Fondu..., adj. —
(ts) Argot pour « interligné » : « une compo en
10 bodo fondu 11 ». Fondu sur cadratin. — (ts)
Ayant la chasse d’un cadratin, cadratiné :
« un moins fondu sur cadratin ». Fondu sur
demi-cadratin. — (ts) Ayant la chasse d’un
demi-cadratin, demi-cadratiné.
Gouttière, n.f. —
(ts) Blanc placé
(« couché ») entre les colonnes d’un
texte ; syn. d’espace intercolonne.
Interlettrage, n.m. —
(ts) Action d’interlettrer. Parfois
synonyme d ’espace interlettre.
Interlettrer, v. —
(ts) Mettre du blanc entre les lettres d’un mot. On entend
quelquefois l’antonyme
« désinterlettrer ».
Interlignage, n.m. —
(ts) Action d’interligner. Parfois
synonyme d’interligne, n.m.
Interligne, n.f. (ou
n.m., voir espace) (T, M) Blanc ajouté
entre deux lignes pour aérer la présentation ou pour
aider à la justification verticale. — (µ)
Même remarque que pour les espaces
variables...
Interligner, v. —
(T, M, F) Mettre du blanc entre les lignes d’un texte. On
utilise parfois l’antonyme
« désinterligner ». Notez qu’on
entend indifféremment « un texte en 14 Times
interligné 15 » et « un texte en
14 Times interligné 1 point ».
(µ) (...)
Lavé,
adj. — (T, M, F) « Composition (page,
ligne...) lavée » : dans laquelle on a
jeté trop de blancs intermots ou d’interlignes —
souvent par cupidité (« tirer à la
ligne » dans un travail « à la
production » ; refus d’aller en Germanie
[remanier, repatiner trop de texte] après la
correction d’un doublon...). Voir Lignes
à voleur. — (µ) On retrouve trace de cette
mesquinerie dans l’utilisation abusive, pour les mêmes
raisons, des commandes « augmenter l’approche »
ou « échelle horizontale ». — N.B.
Ne pas confondre avec le cri joyeux (« C’est
lavé ! ») que le pageux lance au marbre,
signalant que le calage s’est terminé sans encombre et
que les malheureux peuvent rentrer chez eux. (Les malheureux sont les
quelques typos et le correcteur qu’on a forcés à
rester après le bouclage, au cas où auraient lieu,
pendant la mise sous presse, une mise en pâte, un soleil, et le
mastic qui s’ensuit.)
Lever,
v.i. — (T, M) « Blanc qui
lève » : dans une composition plomb mal
serrée dans une forme, des blancs (espaces, mais aussi
interlignes et même l’extrémité blanche d’une
ligne creuse) peuvent monter vers le papier, être encrés
et se voir imprimer. Le correcteur signale le fait par une croix qu’il
trace sur l’épreuve. Et le typo (ou l’imprimeur)
resserre la forme ou donne un solide coup de marteau sur le blanc
baladeur !
Lézarde, n.f (ou)
rue, n.f (ou) cheminée, n.f. — (ts)
Alignement mal venu d’espaces les unes sous les autres dans un
texte et qui donne l’impression d’une colonne de
blanc : « Les lézardes sont zigzaguantes, les
rues sont obliques, les cheminées sont verticales. (...) ce
sont des lignes blanches (causées par les espaces intermots)
qui semblent séparer une portion de texte en deux ou plusieurs
morceaux » (RAMAT).
Ligne de blanc, n.f. —
(ts) Interligne, de la valeur du corps du texte :
utilisée en dactylographie pour aérer un texte ;
interdite en typographie ; devrait donc être
évitée en micro-édition.
Lingot, n.m. — (T, M) Bloc
de plomb ou d’aluminium, systématique, servant à
combler les vides d’une page.
Millimètre, n.m. —
(µ) « Unité de mesure que nous légua la
Révolution, bizarre parce que non duodécimale, dont se
sont entichés les jeunes micro-éditeurs, et valant
2,2173 douzes » (PAPY
JIDÉ ).
Parangonner, v. — (ts)
Ajouter du blanc au-dessus ou au-dessous d’un signe pour
décaler celui-ci par rapport au reste de la ligne (p. ex. une
lettre supérieure). Voir
schéma.
Pica, n.m. — (F, µ)
Unité de mesure d’origine anglaise (4,21 mm) qui
remplaça en France le cicéro lors de l’arrivée
de la photocomposition.
Quadratin, n.m. — (ts)
Orthographe ancienne de « cadratin », que l’on
retrouve en anglais (quad).
Quart de cadratin, n.m. —
(ts) Espace ayant une chasse égale au quart d’un
cadratin.
Renfoncement d’alinéa,
n.m. — (ts) Blanc jeté au début de la
première ligne d’un paragraphe ; ce blanc doit
varier selon la justif : traditionnellement, un cadratin jusqu’à
20 douzes de justif ; au-delà, un demi-cadratin par
10 douzes de plus.
Systématique, adj. —
(T, M) Blanc systématique : ayant une valeur
définie en points, au contraire des blancs dont la chasse est
proportionnelle au corps, comme le cadratin.
Talus,
n.f , contrepoinçon, n.m., approche, n.f. —
(ts) Blancs intégrés au dessin du caractère
(TEXTE À VENIR !).
Unicode. — (µ) Unicode a prévu plein d’espaces, mais sans trop les définir, apparemment (pas plus bien sûr qu’il ne définit LETTRE LATINE A) ; on trouve, entre autres [2] :
2000 en quad = demi-cadratin
2001 em quad = cadratin
2002 en space = demi-cadrat (identique à en quad)
2003 em space = cadrat (identique à em quad)
2004 three-per-em space = tiers de cadratin
2005 four-per-em space = quart de cadratin
2006 six-per-em space = sixième de cadratin
2007 figure space = espace numérique (égal à la chasse d’un zéro)
2008 punctuation space = espace ponctuation (égale à la chasse d’une virgule)
2009 thin space = espace fine (1/5 cadratin, 1/8 en français)
200A hair space = espace ultra fine (de 1/10 à 1/16 de cadratin)
200B zero width space = espace sans chasse
Veuve, orpheline. — (µ) Synonymes de lignes creuses. Depuis l’arrivée de la photocomposition et de la bureautique, on voit utiliser ces deux mots en lieu et place de « ligne creuse en tête » et « ligne creuse en pied » ; mais les avis sont partagés sur les définitions, les uns donnant la veuve comme étant creuse et en tête, comme le font les Anglo-Saxons, d’autres assurant l’inverse ! Dans le doute, on pourrait pour l’instant ignorer ces anglicismes. Anglais : widow, widow line, widdy, et orphan.
[1] Dictionnaire des
difficultés du français de Jean-Paul Colin,
collection Usuels du Robert, p. 675-676 de l’édition de
poche (1994).
[2] Voir http://babel.alis.com/codage/iso10646/rang_20.htm
et le
site typo de Microsoft.
Ce lexique n’aurait pas vu le jour sans les
précieuses connaissances leucologiques de mes confrères
de la Liste
typo. Que cela ne vous empêche pas
de consulter le succulent Argot des typographes de Boutmy !
Ou sa « mise à jour » par Jack Bourderie !
Une remarque ? Une correction ? Une anecdote ? Écrivez-moi ! (Mise
à jour : 1er avril 1999.)
Quel est le corps du S reproduit par l’Encyclopédie ? Une récompense grandiose pour les mille premières bonnes réponses ! |